« Le superviseur établit un cadre de confort et de sécurité qui exige la confidentialité, le respect, le non-jugement, l’absence d’interprétation. Ce cadre de sécurité permet aux supervisés d’oser se lancer, de s’exprimer librement, (…), du fait qu’ils savent qu’il y aura confidentialité et reconnaissance mutuelle. »